On sait pourquoi Kim Kardashian ne sourit pas sur les photos
C'est justement au détour d'un post sur son compte Instagram que la star de la téléréalité américaine a fait une révélation beauté. Sur ce cliché, Kim K affiche un large sourire et rit, même, aux côtés de son ami Shamari Maurice. Et la jeune femme ne manque pas de le faire remarquer : " Vous voyez, je souris... Et je ris même � l'occasion. Mais pas trop souvent quand même parce que ça donne des rides ! " Sourire donne des rides ! Voil� donc pourquoi l'épouse de dévoile si rarement ses dents.
� Sourire ou avoir des rides, il faut choisir ?Comment ne pas penser � cette autre personnalité qui aime � afficher une moue boudeuse en toute circonstance, Victoria Beckham ? La créatrice de mode anglaise avait révélé ne pas sourire pour les mêmes raisons esthétiques : ne surtout pas précipiter l'apparition de ces rides disgracieuses aux coins des yeux et des lèvres. L'ex-Spice girl que l'on appelait Posh (snob en anglais) avait également expliqué au Glamour US : " Avant, je souriais beaucoup sur les photos. Je crois que j'ai arrêté de sourire quand j'ai commencé � travailler dans la mode. La mode a volé mon sourire ! "
Aux Etats-Unis, le Maryland commue la peine de ses 4 derniers condamnés à mort
L'Etat du Maryland, dans l'est des , qui a aboli la peine capitale il y a un an et demi, a décidé d'épargner ses quatre derniers condamnés � mort et de commuer leur peine en prison � perpétuité, a annoncé mercredi 31 décembre son gouverneur.
> Voir notre reportage interactif : Voix d'outretombe : les derniers mots de condamnés � mort exécutés au Texas
En mai 2013, le Maryland était devenu le dix-huitième Etat américain � abolir la peine de mort (sur cinquante), mais il restait quatre hommes dans le couloir de la mort, dont le sort n'avait pas été tranché. Après avoir rencontré les familles des victimes des quatre condamnés,� le gouverneur démocrate Martin O'Malley a dit son espoir que sa décision leur «� permette de tourner la page� ». Le responsable politique était déj� � l'origine de la promulgation de la loi qui abolit la peine de mort, qu'il juge «� intrinsèquement injuste� ».
35 EXÉCUTIONS EN 2014
Vingt-neuf Etats et la capitale fédérale ont aboli le châtiment suprême ou ne l'utilisent plus, et le nombre d'exécutions a poursuivi sa baisse en 2014. Les Etats-Unis ont procédé � trente-cinq exécutions cette année, le chiffre le plus bas depuis vingt ans, selon le bilan annuel du Centre d'information sur la peine capitale (DPIC). Trois Etats � eux seuls ont procédé � 80 % des exécutions : le Missouri, le Texas et la Floride.
> Lire aussi : Le nombre des exécutions au plus bas aux Etats-Unis depuis 1994
Mais l'année a été marquée par des exécutions particulièrement pénibles, avec des injections létales fonctionnant mal dans l'Ohio, l'Oklahoma ou l'Arizona. Ces exécutions, visiblement accompagnées de souffrances, ont provoqué un tollé et contribué, selon le DPIC, � faire reculer la peine de mort : il n'y a eu que soixante-douze condamnations � la peine capitale prononcées dans l'année, un plus bas en quarante ans.
> Lire aussi : Aux Etats-Unis, les méthodes opaques autour de la peine (...)
Autoroutes: les contrats ne seront pas résiliés en 2016, les négociations continuent
Le Premier ministre a refusé de trancher dans la précipitation sur l'avenir des concessions autoroutières, renonçant � une résiliation en 2016 et chargeant un groupe de travail de plancher sur deux scénarios, dénonciation en 2017 ou renégociation.
Ce groupe de travail sera mis en place en janvier, avec une double mission. La première sera d'examiner les propositions faites le 22 décembre au gouvernement par les sociétés d'autoroutes.
Ces propositions comprennent "des avancées importantes", selon le Premier ministre, qui ajoute que "la négociation n'est pas achevée et ces propositions doivent encore être améliorées".
La seconde mission sera d'"examiner les modalités et conséquences d'une résiliation anticipée des contrats" et "comparer deux scénarios: renégociation des contrats ou résiliation au 1er janvier 2017", détaille Manuel Valls.
"Le groupe de travail pourra proposer, le cas échéant, des amendements au projet de loi pour la croissance et l'activité, en vue de son examen en première lecture � l'Assemblée nationale", poursuit-il.
L'Association des sociétés françaises d'autoroute (Asfa) n'était pas joignable mercredi.
- Remettre � plat les concessions -
Le 31 décembre 2014 était la date butoir pour une dénonciation des contrats applicable au 1er janvier 2016.
Le gouvernement aura donc attendu le dernier moment pour prendre sa décision, annoncée par un courrier du Premier ministre au député (PS) Jean-Paul Chanteguet, rapporteur d'une mission d'information qui avait préconisé, mi-décembre, une résiliation des contrats.
Par ailleurs, 152 députés socialistes avaient écrit � Manuel Valls pour réclamer le rachat des concessions d'autoroutes.
"Le gouvernement partage votre analyse concernant la nécessité de remettre � plat les concessions autoroutières, qui ont été privatisées en 2006 par le gouvernement Villepin sans qu'aient été prises les précautions permettant de préserver les intérêts de l'Etat dans la durée", souligne Manuel Valls dans son courrier.
Le gouvernement et les concessionnaires ont entam� C3 l'automne des négociations, après la publication de rapports de l'Autorité de la concurrence, qui avait dénoncé une situation de "rente", et de la Cour des comptes, qui avait également fait état du caractère déséquilibré des contrats.
Manuel Valls, qui avait reçu les concessionnaires en octobre, affirme que "le gouvernement est déterminé � remédier � cette situation et � mettre en oeuvre les recommandations de la Cour des comptes et de l'Autorité de la concurrence".
"Le projet de loi pour la croissance et l'activité qui sera examiné dès le mois de janvier par l'Assemblée nationale comporte des dispositions en ce sens", précise-t-il encore.
- 'Meilleure régulation des péages' -
Parmi les sujets de friction, figure le prix des péages, qui doit augmenter de 0,57% au 1er février, dans le cadre des augmentations annuelles programmées dans les contrats de concession.
Sans évoquer directement cette augmentation, Manuel Valls rappelle que "les objectifs du gouvernement sont une meilleure régulation des péages afin de préserver le pouvoir d'achat des automobilistes, le rééquilibrage du partage des profits et une participation du système des concessions autoroutières au financement des infrastructures de transport du pays".
Il ajoute que "cette poursuite de la négociation pendant quelques semaines tout au plus doit permettre de se donner toutes les chances de parvenir � la meilleure solution possible".
Les concessionnaires assurent que leur rentabilité est bien inférieure aux 20% ou plus évoqués car elle doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années.
Mais l'Etat pourrait fixer un plafond de rentabilité, au-del� duquel leurs bénéfices lui seraient reversés, et pourrait, en contrepartie, combler une partie du manque � gagner en cas de baisse du trafic.
Les sociétés concessionnaires exploitent 9.048 kilomètres d'autoroutes françaises, sur les 11.882 existants. Filiales pour la plupart des géants français du BTP Eiffage (APPR et Area) et Vinci (ASF, Escota et Cofiroute), ainsi que de l'Espagnol Abertis (Sanef et SAPN), ils exploitent les concessions jusqu'en 2027-2033.
Mika salue l'éclatant succès de son poulain Kendji
VIDÉO. Beau joueur, le chanteur Mika se dit fier de l'incroyable succès de Kendji, son protégé dans "The Voice", dont l'album s'arrache, contrairement � son single.
Voil� des paroles qui devraient aller droit au coeur de Kendji, le jeune Gitan qui écrase les charts avec son album vendu � près de 500 000 exemplaires. Le chanteur Mika, son ancien coach, le premier qui a cru en lui dans l'émission The Voice, lui rend aujourd'hui hommage sans détour dans une interview accordée � Télé Loisirs. "Je suis fier de pouvoir dire qu'il est la plus grosse vente mondiale d'un gagnant de The Voice", reconnaît le ludion de la pop music. "Le cas Kendji est intéressant, poursuit-il, car il n'est pas un chanteur parfait, mais il ne ressemble � personne d'autre. Il est exactement ce que je recherchais." Avant de livrer une anecdote qui confirme sa satisfaction d'avoir su dénicher un vrai talent dans le concours de TF1 : "J'ai parié avec mon ami Pharrell Williams, qui est coach sur l'émission américaine, qu'il n'aurait pas un gagnant aussi populaire que le mien !"
REGARDEZ le clip "Andalouse"
Dès la fin du concours, Mika avait défendu son poulain, réfutant l'idée que celui-ci avait gagné uniquement en raison de son physique : il avait peut-être une belle gueule, mais aussi une bonne voix, disait-il en substance. Et quand les premiers chiffres des ventes de son album sont tombés, très impressionnants, il avait envoyé un texto pour saluer l'exploit : "Kendji, numéro un avec 70 000 la première semaine. Bravo !" postait-il alors sur Twitter. De son côté, le jeune Gitan entrait dans le bain sans avoir revu son mentor. Lorsqu'on lui demandait s'il avait pu travailler avec lui, il reconnaissait qu'il ne l'avait pas revu depuis la finale. "Il n'a pas pu se pencher sur mon travail, parce que lui aussi a sorti son single et il est en pleine (...)
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Drame familial au Canada: 9 morts dont deux enfants et le meurtrier
Un drame familial est � l'origine du meurtre de huit personnes, dont deux jeunes enfants, � Edmonton � l'Ouest du Canada, où le meurtrier présumé, connu des services de police pour violences, s'est donné la mort mardi.
Un homme dépressif, en proie � des problèmes d'argent et avec des antécédents judiciaires, a d'abord abattu par balles une femme de 37 ans dans une maison au sud de cette ville d'un peu moins d'un million d'habitants de la province de l'Alberta, connue pour ses richesses pétrolières.
L'individu s'est ensuite rendu dans une maison au nord de l'agglomération où il a tué dans un geste "prémédité et délibéré" sept autres personnes, a déclaré le chef de la police Rod Knecht, lors d'un nouveau point de presse mardi soir. Parmi ces sept cadavres, deux enfants "de moins de 10 ans", trois femmes et deux hommes âgés de 25 � 50 ans. Toutes les victimes seraient d'origine vietnamienne, selon les médias locaux.
"C'est un jour tragique pour Edmonton (...) avec ce multiple meurtre insensé de huit personnes", a-t-il souligné en notant, de mémoire, qu'il s'agissait de la pire affaire � Edmonton depuis un sextuple assassinat commis en 1956.
Tout a commencé lundi soir quand un homme --fiché depuis 1987 par la police d'Edmonton pour agressions sexuelles et usage de stupéfiants-- est entré dans la résidence de Cindy Duong. L� , "il a déchargé son arme" sur cette jeune femme avant de s'enfuir précipitamment � bord d'un gros véhicule 4x4 noir, a raconté le chef de la police.
Quelques heures plus tard, la police a reçu un appel faisant état de la présence d'un homme "déprimé, totalement bouleversé". Sans expliquer qui avait passé cet appel, le chef de la police a mentionné que des membres de sa famille avaient décrit l'individu comme "suicidaire".
Arrivée sur les lieux, la police n'a pas remarqué le gros 4x4, ni localisé le suspect et n'a rien constaté d'anormal en jetant un oeil par les fenêtres de la maison. La patrouille est alors repartie, a indiqué Rod Knecht.
Mais un nouvel appel a été émis vers 00h30 mardi (030 GMT) et les policiers sont alors retournés dans la maison, ont forcé l'entrée, et y ont découvert les sept cadavres.
Grâce aux éléments recueillis sur place et aux témoignages, les enquêteurs ont identifié l'auteur présumé du drame familial et ont retrouvé � Fort Saskatchewan, petite bourgade enneigée � 30 km au Nord-Est d'Edmonton, le 4x4 "qui correspondait � la description qui en avait été faite lors du premier meurtre", a indiqué le chef de la police.
- Pistolet 9 mm volé -
Un périmètre de sécurité a alors été établi autour d'un restaurant vietnamien de Fort Saskatchewan, un établissement dans lequel le suspect "avait des intérêts d'affaires", selon Rod Knecht.
"Sortez! les mains en l'air", a crié dans un mégaphone un policier, a raconté une voisine de ce restaurant au Edmonton Journal. Sans réponse, la police a forcé l'entrée de l'établissement. Les images des télévisions montraient une bâtisse en coin de rue, les vitres brisées et la porte d'entrée défoncée.
Mardi vers 08h45 (15h45 GMT), les enquêteurs ont trouvé "un homme mort" dans le restaurant. Cela "semblait être un suicide" et l'identité de l'individu correspondait � celui que la police "tentait de localiser" depuis lundi soir, a indiqué Rod Knecht
Cette série de meurtres n'est pas liée � des activités de gangs de rue mais, selon le responsable de l'enquête, c'est "un tragique incident de violence familiale et domestique".
Selon des témoins cités par le journal local, le propriétaire de la maison du drame était en proie � des difficultés financières et s'était récemment déclaré en faillite. Il était séparé de sa femme qui serait au nombre des victimes, selon les mêmes sources.
La police a indiqué que des autopsies allaient être pratiquées dans les tout prochains jours. Toutefois, Rod Knecht a indiqué que l'arme du crime, un pistolet 9 mm "avait été légalement enregistrée" dans la province voisine de Colombie-Britannique en 1997 et déclarée volée en 2006.
Joué-lès-Tours : des doutes subsistent sur la version officielle
Des zones d'ombre planent autour de l'agression du 20 décembre, non en raison de rumeurs mais sur la base de faits recoupés et de témoignages crédibles.
Le Point a été le premier média � émettre des doutes sur la version officielle � propos de la mort du jeune Bertrand Bilal Nzohabonayo. Mais non � partir de rumeurs, comme le répètent depuis plusieurs jours les institutions, notamment judiciaires. Lorsque Le Point a contacté le parquet de Paris � propos de l'agression qui a mis aux prises des jeunes et un policier, Loïc V. - condamné en août 2014 en première instance dans une autre affaire � Joué-lès-Tours -, qui s'est déroulée la veille de l'attaque de trois policiers, la justice avait répondu qu'il ne s'agissait que d'"une rumeur de cité". Depuis, la réalité de l'agression du 19 décembre - confirmée au Point de source policière le 24 décembre - a été officiellement confirmée par la direction départementale de la sécurité publique et Loïc V. a été entendu par les policiers de la SDAT, l'antiterrorisme.
LIRE notre article précédent (Abonnés) "Que s'est-il vraiment passé � Joué-lès-Tours ?"
Certes, le lien entre les faits du 19 décembre et "l'attaque" de l'antenne de police le lendemain par Bertrand Bilal n'a pas été établi. Mais le doute demeure sur les raisons qui ont pu pousser le jeune homme converti � l'islam de s'en prendre � des gardiens de la paix.
Le procureur de la République de Tours affirme que Bertrand Bilal est venu de sa propre initiative � l'antenne de police. Néanmoins, il a également affirmé que tous les faits se sont déroulés au sein du sas de la subdivision de police. Ce qui contredit la version d'un témoin - déj� cité par Le Point - filmé par l'AFP qui, lui, affirme avoir vu les policiers tenter de faire entrer le suspect de force dans le commissariat. Un témoignage très crédible dans la mesure où il affirmait, au contraire de la version (...)